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19 novembre 2008 3 19 /11 /novembre /2008 22:54

Depuis que DAÏKA s'est un peu émancipée, elle supporte mal que la porte de la Chatterie reste fermée. DOOGGY en a profité pour visiter les lieux et se risquer à participer aux jeux de ses colocataires. Malheureusement, dès que j'entre dans la pièce, les fifilles n'y prêtent aucune attention alors que DOOGGY disparaît sous le meuble le plus proche.

 

Il est ici depuis une semaine et les progrès sont minces. Pour arriver à le prendre dans les bras, il faut déjà faire preuve d'assez de souplesse pour accéder au dessous des meubles à plat ventre, puis affronter les grognements. DOOGGY se laisse alors cajoler, murmure timidement un ronron de politesse,  mais guette le moment où mes deux mains seront occupées lors du brossage pour s'échapper ! Puis retour à la case départ… c'est désespérant. Pourtant, quand, subrepticement, je le surprends à jouer, il n'a rien d'un chat farouche.

 

On m'avait conseillé de m'occuper d'abord de DAÏKA parce que c'était la plus craintive. DOOGGY se laissait plus facilement approcher par les bénévoles. Encore une preuve qu'il est difficile de cerner la personnalité d'un chat au refuge !

 

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17 novembre 2008 1 17 /11 /novembre /2008 00:46

C'est amusant de voir le caractère de chaque chat se révéler jour après jour. DAÏKA, à son arrivée, crachait sa peur, tremblait quand je la serrais contre moi puis très rapidement ronronnait. Était-ce d'aise ou de crainte ? Le ronronnement n'est pas forcément un signe de bien-être.

 

Depuis l'arrivée de son frère, ils découvraient ensemble la Chatterie et avaient la possibilité de se réfugier dans leurs cages restées ouvertes. Paradoxalement, pour ces pauvres bêtes qui n'ont connu que cela, la cage reste sécurisante, du moins les premiers temps.

 

Je commençais à m'inquiéter du repli des chatons et me demandais comment les sortir de cet isolement. DAÏKA m'a fourni un élément de réponse, samedi, en profitant de mon entrée dans leur pièce pour sortir d'un pas décidé, la petite queue en l'air. Elle est allée se présenter à ses colocataires avec un succès inégal. Une patte noire avec un chausson blanc l'a même écartée brusquement. Elle a ensuite parcouru l'appartement d'abord paisiblement, flairant méticuleusement chaque recoin, puis a refait le même trajet à toute vitesse plusieurs fois, bientôt suivie par le reste de la troupe. Mlle NUTS, comme d'habitude, a préféré aller prendre l'air. Elle tolère les envahisseurs à condition de pouvoir s'isoler en cas de chahut.

 

Une semaine à peine après son arrivée, "l'ex-petite sauvageonne" est prête à accueillir ses futurs maîtres. L'annonce paraîtra bientôt et ma petite peluche partira vers une nouvelle vie. Comme DIORELLA et DAPHNY, elle oubliera son passé de misère pour devenir une petite chatte choyée. Simplement parce qu'on aura pu lui consacrer une semaine de vie "normale" pour l'aider à révéler sa vraie nature et se familiariser avec les humains.

 

De magnifiques chats et chattes passeront leur vie entière confinés au local parce qu'ils n'auront pas eu cette chance et seront restés craintifs, même pas agressifs ! Les candidats à l'adoption n'osent pas s'engager envers un chat qui paraît "sauvage" et c'est compréhensible. D'où nos nombreux appels aux personnes connaissant ces petits félins pour qu'elles acceptent d'accueillir, le temps de les sociabiliser, un chaton ou un jeune adulte afin de lui épargner ce triste avenir dans un local surpeuplé, quand ce n'est pas dans une cage !

      
              Daïka à la lumière naturelle...                                               et au flash !

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15 novembre 2008 6 15 /11 /novembre /2008 09:45

Après une nuit (de mercredi à jeudi) au sommeil tardif et intermittent, le découragement me conduisait au constat d'échec.

Mes petits sauvageons avaient décidé de tester ma motivation. Ça a commencé par un pipi-caca qui m'a obligée à changer toute ma literie en début de nuit ! La fautive est venue gratter la couette mais je n'ai pas compris le message.

 

Deux erreurs de ma part : ne pas avoir apporté de litière dans la pièce et n'avoir pas tenu compte d'un avertissement pourtant assez explicite. Sanction immédiate ! Troisième erreur : avoir remis les chatons chacun dans sa cage, pourtant tout confort ! Résultat un concert de miaulements et piétinements rageurs dans la litière, le bol d'eau et les croquettes transformant l'endroit en un capharnaüm épouvantable et mes petites boules (à poils longs) en gants de crin !

 

Conséquence : Debout à 5h30 pour nettoyer la pièce et brosser les petits coupables sans oublier le nourrissage car ce débordement d'activité leur avait ouvert l'appétit ! D'autant plus que les réserves de la nuit n'avaient pas rempli leur rôle, beaucoup moins appétissantes amalgamées à la litière mouillée !

 

Après une heure de labeur, j'avais rendu à la Chatterie un aspect acceptable et les chatons, repus et propres s'endormaient sagement alors que pour moi commençait une journée qui ne s'annonçait pas sous les meilleurs auspices. Grosse fatigue… moral en berne !

 

Mais c'était sans compter sur d'opportuns renversements de situation ! Avaient-ils pressenti que j'allais jeter l'éponge ? Mes petits monstres allaient se montrer sous un jour plus favorable dès jeudi. Dans la journée, les cages sont ouvertes. Avec l'expérience de la nuit précédente, je ne les ai pas refermées. Il faut dire qu'entre temps, la complicité s'était restaurée. Plus de raison de les séparer ! La nuit suivante fut calme et le comportement des chatons plus paisible.

 

Certes, la partie n'est pas encore gagnée mais je peux maintenant entrer dans la Chatterie sans provoquer de mouvements de panique. Avec les précautions nécessaires, je peux les approcher, les papouiller et déclencher la machine à ronrons. Ils n'en ont pas renoncé pour autant à grogner mais c'est maintenant à contretemps. Par exemple, quand je leur apporte leur repas, ils trépignent d'impatience mais accueillent leur écuelle en feulant.

 

Les mauvaises habitudes sont tenaces ! Mais ils ont gagné : je n'ai pas renoncé à leur inculquer les bonnes manières. D'ailleurs, chez le vétérinaire vendredi après-midi, ils ont donné l'image de chatons parfaitement sociabilisés. Je jubilais… pourtant de retour à la maison, les grognements reprenaient. Peut-être simplement pour bien préciser que ma mission n'était pas terminée !


 

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13 novembre 2008 4 13 /11 /novembre /2008 13:24

Prévenue lundi soir que je devais amener deux de mes petites pensionnaires, pour stérilisation, au local mardi matin à jeun, j'ai offert à ma tribu un festin juste avant minuit. Toutes les écuelles ont ensuite disparu… solidarité oblige ! Il a fallu attendre que les deux petites patientes de la clinique vétérinaire qui offre stérilisation et tatouage aux chats des rues soient dans leur cage de transport pour que réapparaissent les plateaux repas.

 

Mais la cage de transport que j'avais choisie pour DENTELLE était trop grande. L'association en a prêté une autre. Allais-je la ramener vide ?

 

Les bénévoles présents au local s'apitoyaient sur le sort de ce malheureux DOOGGY qui avait vu partir sa maman, samedi et sa petite sœur, dimanche… et ne faisait que pleurer depuis.

 

La solution s'imposait ! Le petit désespéré est rentré avec moi mais les retrouvailles avec sa soeur ne furent pas aussi chaleureuses qu'on aurait pu l'espérer. Impossible de les faire cohabiter dans la même cage. Et quand je les laisse en liberté, DAÏKA joue mais ne s'approche plus de moi. Comme son frère, elle va se cacher sous la bibliothèque dès que je bouge. J'avais naïvement espéré que ce serait le contraire, d'autant plus qu'au local, DOOGGY était le moins farouche.

 

Mes premières impressions sont assez négatives. N'aurais-je pas grillé les étapes ?


 
  
                        

                           DAÏKA fait la coquette...                                                                    DOOGGY se détend...

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12 novembre 2008 3 12 /11 /novembre /2008 01:36

Quand les oreilles sont ainsi à l'horizontal, en général, ce n'est pas bon signe !

 

DAÏKA a été amenée au local avec son frère et sa mère. Alors que la maman était très sociable et a été adoptée, les bébés sont de petites terreurs grognant dès qu'on les approche.

 

J'ai pris la plus rebelle, dimanche. Lundi, elle ronronnait dans mes bras. Mardi, elle a commencé à explorer le territoire et à jouer. Si ça continue ainsi, vendredi, je lui ramène son petit frère !

 
 

Petit à petit, on se détend !


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8 novembre 2008 6 08 /11 /novembre /2008 22:48

DAPHNY la tornade, DAPHNY la tendresse est déjà partie. Aucun souci à se faire pour son avenir… son adoptante connaît les chats et saura lui donner l'affection mais aussi les limites nécessaires. DAPHNY aura un ami-chat et un ami-chien dans un environnement privilégié. Bref, pour elle c'est le bonheur !

 

Mais pour nous, quel vide !!! A son arrivée, DAPHNY avait provoqué la consternation des occupantes des lieux par son dynamisme. Le calme subitement revenu les laisse décontenancées.

 

Et si leur réflexion allait plus loin ? Si elles me demandaient pourquoi DIORELLA et DAPHNY n'avaient fait que passer alors qu'elles restaient !!! Que devrais-je leur répondre ? Que dans la vie on n'a pas tous les mêmes chances… même chez les humains.

 

Que le monde entier commente l'élection d'un homme en soulignant  la couleur de sa peau plus que ses qualités ! Que des jeunes diplômés se voient refuser des emplois parce qu'ils n'ont pas le bon "profil" ! Que des familles peinent à se loger parce que les propriétaires préfèrent louer à des gens qui leur ressemblent…

 

Je vous épargnerai tout cela mes petits zamours… non pas pour vous ménager mais parce que ces réalités me sont insupportables ! Vous n'êtes plus des chatons… vous avez une robe ordinaire… vous n'êtes pas chèrement vendus par un éleveur coté mais proposés à l'adoption une association de protection féline qui doit improviser chaque jour la survie du lendemain… voilà vos handicaps. Pourtant vous  n'en êtes pas moins attachants !

 

En fait, c'est heureux que vous n'ayez pas conscience de tout cela et que vous soyez assez sages pour vous contenter de mon affection et ses soins que je vous réserve. Votre présence et vos facéties me sont précieuses !

 

C'est peut-être tout simplement parce qu'on sait apprécier ces petits bonheurs qu'on vieillit mieux qu'on a vécu ! Enfin, c'est ce qu'on a pu entendre cette semaine.


  

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6 novembre 2008 4 06 /11 /novembre /2008 23:26

DAPHNY la tornade finit par se fatiguer et laisse alors place à DAPHNY la tendresse qui vient se lover dans votre cou et vous chantonne ses harmonies ronronnesques.

 

La première nuit, je l'avais remise dans sa cage de peur qu'une émeute féline ne compromette mon sommeil. Le lendemain, DAPHNY a fait plus ample connaissance avec ses colocataires. Je ne maîtrise pas parfaitement leur langage mais j'ai eu l'impression qu'elle s'était fait tancer plusieurs fois. Pas de problème, elle se plaçait en position de soumission puis revenait aussitôt à la charge. Si bien qu'elle a fini par s'imposer et ajouter une participante aux courses poursuites avec dérapages non contrôlés. Les plus futées ont compris que le freinage sur parquet vitrifié était inefficace et terminent leur parcours d'un côté sur le canapé, de l'autre sur le lit… les autres vont s'écraser sur les murs.

 

Le vacarme est parfois tel que Mlle NUTS préfère s'exiler. Idem pour FAUVE qui heureusement a sa dépendance sur la terrasse. Le pauvre est effrayé par toutes ces filles qui ne lui laissent aucun répit. DENTELLE s'échappe aussi quelquefois. Elle doit retourner vers ses anciens abris (il faudrait que je l'équipe d'une mini-caméra pour savoir d’où elle vient). Elle sait maintenant qu'il suffit d'un petit miaulement devant une fenêtre pour pouvoir se rassasier et se reposer au chaud.

 

DAPHNY est maintenant tolérée voire ignorée de ses congénères mais pour moi c'est une autre histoire. C'est un véritable pot de colle qui ne peut récupérer de ses cavalcades effrénées et escalades périlleuses que dans mes bras. Hier, c'était sur ma nuque. Je préférais. Sa chaleur remplaçait avantageusement la minerve. Aujourd'hui, elle m'oblige à une position peu ergonomique pour accéder au clavier !

 

Il est invraisemblable qu'une chatonne aussi familière vienne de la rue où pourtant elle a été récupérée par une bénévole. C'est difficile de placer des chatons. Les associations en font chaque jour l'amer constat. Les abandonner à la SPA ou tout autre organisme est une démarche délicate où on se trouve confronté à ses propres manquements : ne pas avoir fait stériliser ses animaux, ne pas assumer ses choix, avoir craqué pour une petite boule de poils sans réaliser les contraintes qui en découlaient… alors lâchement on les "oublie" dans la rue ou dans un jardin public ! "Après tout, un chat se débrouille toujours". Grrrr….

Les défenseurs des animaux doivent non seulement pallier ces manquements mais il faut également faire évoluer les mentalités. Encore une fois, l'irresponsabilité de certains oblige à légiférer là où un peu de bon sens suffirait.


 
          Il est quelquefois indispensable...                                   d'avoir le bras long !

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4 novembre 2008 2 04 /11 /novembre /2008 23:25

C'est CANNELLE qui aurait dû rentrer avec moi ce soir mais un message laissé sur mon répondeur en fin de matinée m'informait qu'un jeune couple se proposait d'accueillir deux chats. La responsable a choisi de leur confier CANNELLE et CACHOU. Sans doute espère-t-elle que l'accueil, comme c'est souvent le cas quand il n'y a pas d'autre chat, se transforme en adoption. Et puis, elle préférait me confier une chatonne hyperactive qui ne supportait plus l'étroitesse de sa cage. C'est donc en compagnie de DAPHNY que j'ai franchi le seuil de l'appartement sous le regard réprobateur des occupants des lieux.

 

Ils ont inspecté la cage de transport, senti mes vêtements et mes chaussures… l'air indigné que je m'occupe en priorité de la nouvelle venue. Pourtant, j'ai fait vite pour l'installer dans la cage du bas, préparer sa litière, son bol d'eau et sa gamelle de croquettes. Mais quand est arrivé le moment de leur repas, ils avaient une autre priorité : soumettre l'intruse !

 

C'était sans compter sur l'audace de DAPHNY. Elle n'avait pas quitté le local pour retrouver une cage. Profitant d'un moment d'inattention de ma part, elle s'est enfuie et s'est défoulée en cavalant à toute vitesse d'une pièce à l'autre sous le regard médusé et les grognements outrés de ses congénères !

 

Et moi j'essayais de profiter d'un moment d'accalmie pour la photographier. Je tenterai de faire mieux demain !


 
 

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4 novembre 2008 2 04 /11 /novembre /2008 00:03

Aucune candidature à l'adoption de mes petites pensionnaires… je vais donc présenter les animaux de la famille auxquels j'ai consacré un album. Commençons par les fifilles de mes enfants. 

SALSA a été adoptée à l'École du chat bébé (pour minimiser le stress infligé à leur chienne AMBRE) par mon fils et sa compagne. Le résultat a dépassé leurs espérances et la chienne et le chaton sont très vite devenus inséparables.

SALSA a grandi sous la protection d'AMBRE et semble parfois se prendre pour un chien. Leur complicité est telle qu'on ne peut plus douter qu'il existe un langage entre les animaux. Un exemple récent : AMBRE dormait tranquillement quand brusquement elle est partie en trombe vers le jardin. Inquiet, son maître l'a suivie. Il n'avait rien entendu mais AMBRE avait perçu l'appel au secours de SALSA confrontée à des congénères indélicats qui se permettaient d'occuper son territoire.

L'histoire d'AMBRE est peu banale. Elle a été ramenée de Guadeloupe avec ses trois sœurs, à peine sevrées, par une amie qui ne s'est pas contentée de sauver les chiots mais a également fait transférer et adopter leur mère en métropole. AMBRE a su se choisir un maître et depuis 10 ans lui voue une passion sans borne. Sa maîtresse compte également beaucoup pour elle et en leur absence AMBRE déprime, même gardée par les membres de la famille auprès desquels elle a grandi. Un amour aussi absolu ne peut laisser insensible.

SALSA chatonne...                                               et AMBRE
    


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2 novembre 2008 7 02 /11 /novembre /2008 02:35

 L'association dispose d'un petit local où séjournent pour des périodes allant de quelques heures au reste de leur vie, les chats recueillis, notamment ceux qu'on ne peut replacer sur leur territoire en raison de divers dangers. Des équipes de bénévoles se relayent pour assurer l'entretien des lieux et cajoler les pensionnaires. La responsable des soins se charge également de la nourriture.


Ainsi formulé, tout semble aller pour le mieux dans le meilleur des mondes ! Il n'en est hélas rien et plus souvent qu'à mon tour je quitte le local avec une boule à l'estomac. Les freins à notre action par manque de moyens, ces pauvres chats séjournant dans des conditions quasi carcérales, c'est insupportable !


Et pourtant ce sont les plus chanceux. Requinqués, soignés, tatoués, stérilisés, si nécessaires sociabilisés, ils ont une chance d'être adoptés et de terminer leur vie de chat mieux qu'elle n'avait commencé. Ceux qui continuent leur vie d'errance ont une espérance de vie très réduite vu leurs misérables conditions d'existence.


Mais d'une part, le nombre de chats errants augmente sans cesse malgré les stérilisations massives réalisées par les associations, et d'autre part, les problèmes sociaux dissuadent les adoptants potentiels. S'engager pour une quinzaine d'années à nourrir et soigner un animal, cela a un coût que de moins en moins de personnes acceptent d'assumer en ces temps incertains !


Le malheur des animaux n'est pas uniquement le fait de l'inconséquence cruelle de certains humains même si les cas de maltraitance sont trop nombreux et doivent être sévèrement réprimés. Le malheur des animaux découle aussi de drames humains (expulsions, départs en maison de retraite, décès…) !


Et la malchance frappe plus particulièrement les chats adultes. Les adoptants veulent des chatons ! Pourtant, j'ai près de moi une adorable petite CANDIE (photo ci-dessus) qui comblerait la solitude d'une personne âgée. Un peu exclusive, elle souffre ici de devoir partager mon affection avec ses congénères. Elle me suit partout et compense sa frustration en cédant à la gourmandise. Ça me fend le cœur de la voir tenter de s'adapter à une situation qui ne sera encore que transitoire.


Et ce qui me chagrine plus encore, c'est que CANNELLE, la maman de DOUCE ET DOÏNA attend dans sa cage une famille d'accueil. Du fait de son parcours tragique, elle mérite qu'on la ménage et je crois bien que même si ce n'est pas raisonnable, je vais demander qu'on me la confie. Après tout, il reste un peu de place sur mon lit !


 

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Présentation

  • : Le blog de Velenna
  • : Des chats craintifs me sont confiés en famille d'accueil par des associations afin de les sociabiliser avant de les proposer à l'adoption. Ce blog me permettra de les présenter à leurs futurs adoptants et de maintenir le lien. Les nouveaux maîtres sauront qu'ils peuvent compter sur moi en cas de problème et c'est un bonheur pour les familles d'accueil de voir leurs petits pensionnaires s'épanouir dans leur nouveau foyer.
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  • Je découvre avec bonheur qu'il y a une vie après la retraite et qu'il faut se dépêcher de la savourer.
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Les chiens ont des maîtres, les chats ont des serviteurs. (Dave Barry)

J'aime les chats parce qu'il n'y a pas de chats policiers. (Jean Cocteau)

Il y a deux moyens d'oublier les tracas de la vie : la musique et les chats. (Albert Schweitzer)

Parce qu'on le caresse et le nourrit, le chien pense que nous sommes Dieu ; parce qu'on le caresse et qu'on le nourrit, le chat pense qu'il est Dieu.

On ne choisit pas un chat, c'est lui qui vous choisit. (Jacques Laurent)

La devise du chat : qu'importe ce que tu as fait, essaye toujours de faire croire que c'est la faute du chien. (Jeff Valdez)

Les gens qui haïssent les chats seront réincarnés en souris. (Jim Willis)

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